L’Apocalypse sort de sa réserve : la plus grande tapisserie du monde et ses fragments inédits réunis pour la première fois !
Insolite
Pour les 70 ans de la galerie l'Apocalypse et le premier anniversaire de l'inscription à l'UNESCO de la tapisserie, découvrez pour la première fois des fragments jamais montrés au public !
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Samedi 18 mai 2024 (Nuit européenne des musées)
19h - Minuit (dernière entrée : 23h30)
Dimanche 19 et lundi 20 mai 2024
10h - 18h15
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Tarifs
Sauf le 18 mai en soirée où l'entrée est gratuite pour la Nuit européenne des musées
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Tout Public
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Conditions d'accès
> Accès libre, sans réservation
> Accessible aux personnes à mobilité réduite et aux poussettes
> Vigipirate, animaux, trottinette... L'accès au monument est réglementé. Prenez vos dispositions avant votre arrivée
Présentation
Des trésors cachés
C’est un chef-d’œuvre de l’art médiéval unique au monde visité chaque année par 300 000 visiteurs. Mais ces derniers ne se doutent pas que certains des morceaux précieux de la tapisserie de l'Apocalypse dorment à quelques mètres de là, à l’abri des regards, dans les réserves du château d’Angers.
Filés d’or, couleurs intactes : ces trésors cachés révèlent bien des secrets. Le public pourra notamment admirer les précieux et inédits morceaux découverts miraculeusement en 2020 dans les tiroirs de la galerie Ratton & Ladrière à Paris.
La tapisserie de l'Apocalypse comme vous ne l'avez jamais vue !
Car la plus grande tapisserie médiévale au monde n’est malheureusement plus complète. Sur ses 140 mètres de long sur 6 mètres de hauteur originels, 100 mètres sur 4,5 mètres nous sont parvenus. En plus de cet ensemble gigantesque présenté toute l’année au public dans la galerie, de précieux fragments sont gardés en réserve.
Préservés de la lumière pendant des décennies, ces pépites révèlent ce que l’endroit de la tapisserie exposée ne laisse qu’entrevoir : bleus profonds, orangés éclatants, verts lumineux, filés métalliques autrefois recouverts d’or…
La matière précieuse et la technique virtuose de l’œuvre se dévoilent, permettant de mieux imaginer la splendeur de cet objet de luxe qui, au XIVe siècle, était destiné aux fastes de la cour du prince Louis Ier d’Anjou.
Un événement du Centre des monuments nationaux et de la DRAC des Pays de la Loire.
